Laurent Galliot

Artiste entre la Bretagne et New York, originaire de Concarneau, Laurent Galliot parcourt tout du long de ses voyages adult porn la ville de New York,  il se laisse emporter dans le tourbillon de la city, dans laquelle l’inspiration s’offre à lui, pour se transmettre à notre regard, au cœur de ses œuvres.

Diplômé de l’école Boulle en décoration d’intérieur, il compose ses toiles avec souci du détail et de l’harmonie.

Laurent, nous émerveille avec ses portraits, tous autant d’icônes de cinéma que de rencontres à travers ses voyages, où la couleur et le noir et blanc, se mêlent, pour nous offrir ces visages capturés par son talent dans la profondeur expressive de ses œuvres.

Invité au salon d’Art Contemporain Monaco 2014, il enchaîne diverses expositions.

Vente d’un portrait de Grace Kelly à la chanteuse libanaise Haifa Wehbe durant une vente aux enchères au Carlton, au profit d’une oeuvre caritative.

Réalisation du portrait de Raphaël Nadal dédicacé par le n°1 mondial pendant l’Open de Monte Carlo 2014.

Imaginez, vous vous rencontrez, que pensez-vous, qu’est-ce qui vous vient à l’esprit ?
« Je pense que je suis autodidacte, quelqu’un de très humble, qui respecte le travail des autres. »

Vous avez une ou des anecdotes ?
« J’ai commencé à peindre il y a 35 ans, j’étais pion dans un collège, et j’y ai peint une fresque de New York, une personne s’est souvenue de cela, et mon travail a marqué les esprits 30 ans après, je m’en souviens encore… »
« Quand j’ai réalisé une fresque à la Criée de Concarneau, il y avait un grand drap avec des points d’interrogations qui cachait la fresque, c’était ma création… lorsque le drap fut retiré et la fresque révélée au grand jour, elle a été remarquée par FR3, à l’époque, et j’ai été contacté par la chaîne afin de réaliser des croquis pour une scène de film, dans une série appelée Marie Lester, et j’ai ainsi pu apercevoir mes croquis dans le film. »
« J’ai fait aussi, pour la Fédération Française de Karaté, toutes leurs affiches pendant un an… »

Travaillez-vous à l’inspiration ?
« Quand je commence une toile, dans ma tête elle est déjà finie. »

Comme dans un roman, racontez-vous une histoire ?
« Quand je peins New York, c’est de la mise en scène, j’ai un fil conducteur, il y a toujours un petit camion Fedex dans mes toiles de New York, c’est-à-dire, quand on voit une toile de moi à New York avec cet élément, ce sera de moi, et cela me personnalise et me rend différent. »

Qu’aimeriez-vous que l’on ressente de vos œuvres, dans un siècle par exemple ?
« Qu’on dise que mes toiles ont du caractère, c’est-à-dire qu’il y ait une âme, du mouvement, pour mes portraits, les visages, j’aime qu’ils aient une gueule, et pour les femmes, la sensualité, la beauté… je n’aime pas les choses trop lisses, j’utilise des marqueurs, je mets des grands coups de crayon, j’aime faire vivre les choses. »
« On m’a dit, « j’ai l’impression d’y être » en parlant de mes toiles de New York… »